La reproduction dans les gîtes créés par l’homme tels que les réservoirs, les systèmes d’irrigation, les champs irrigués et les trous d’emprunt peut parfois être évitée grâce à une planification et une conception appropriées visant à rendre ces sites impropres à la reproduction des larves ou à faciliter la mise en œuvre de mesures de lutte
L’objectif de l’étude consistait à démontrer des méthodes alternatives, durables et d’un bon rapport coût-efficacité pour la lutte antilarvaire en République islamique d’Iran, afin d’évaluer l’efficacité de différentes couvertures (nattes de paille et tuiles couvertes d’une fine couche de béton) et d’un larvicide bactérien sur les réservoirs d’eau. Le plan expérimental était une sélection randomisée en trois groupes. Dans le premier groupe, les réservoirs d’eau ont été recouverts de nattes de paille. Dans le deuxième groupe, les réservoirs ont été recouverts avec des tuiles soutenues par des cadres métalliques et une fine couche de béton, tandis qu’un larvicide bactérien était appliqué dans le troisième groupe.
Résultats
Les risques de transmission de P.falciparum et P. vivax dans la ville de Chabahar ont été très faibles et des données ont indiqué une transmission récente limitée. Aucun des sous-groupes sanguins examinés par microscopie optique et tests classiques de réaction en chaîne par polymérase (RCP) nichée ne se s’est révélé positif pour les parasites P.vivax et/ou P.falciparum.
Parmi les activités en cours figurent les suivantes : l’évaluation de la viabilité et de la durabilité ; l’évaluation de l’acceptation par la communauté ; la réalisation d’une enquête sur les connaissances, attitudes et pratiques à la suite d’une éducation par les pairs ; l’analyse du rapport coût-efficacité des interventions de gestion des sources larvaires et la planification de l’extension d’interventions sélectionnées à tous les quartiers de Chabahar.
Liens connexes
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